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  • 1 min 54 si nordvpn vous file de l’urticaire 🤣

    C’était un de mes premiers jeux PSX avec Street Fighter Ex Plus alpha (à tes souhaits) et Medievil. Devinez lequel des trois je n’ai pas rincé. La version GBA était très fidèle, la même difficulté et tout… Mais avec un écran rogné qui rendait les choses encore plus difficiles.
    Quelque chose qui n’est pas abordé dans la vidéo : si je me souviens bien, Michel Ancel avait négocié dans son contrat de l’époque que dix francs lui seraient versés pour chaque copie vendue. Autant dire qu’avec ses plusieurs millions de ventes, même s’il n’avait rien produit d’autre, rien que Rayman lui aurait assuré un train de vie confortable.


  • Sur la partie monétisation, rien ne crie plus communisme que d’être à la pointe des dernières dérives capitalistes. Misère…
    Compte tenu de mes points d’intérêts vidéoludiques, je pense faire partie de ces rare chanceuses et chanceux qui n’ont jamais joué à un “jeu Tencent”, mais ça pourrait changer si l’envie me prenait de jouer à Alan Wake 2 ou Elden Ring. Dans l’ensemble, le jeu-vidéo présenté n’est pas le mien. La chine n’a pas vraiment pied dans le monde des petits indés (souvent réalisés par une seule personne) qui m’intéressent 😮‍💨

    Et sinon, un JV mainstream dominé par le parti capitaliste d’état chinois ne me plait pas beaucoup, mais il faut tout de même noter que ce ne serait qu’un changement de propriétaire du bâton que les USA ont tenu, et tiennent encore maintenant. Les derniers Call of et autres Battlefields n’étant pas mieux en terme de propagande que ce que ce bon vieux Xi et ses potes auraient à proposer.




  • Il y a des points qui me font tiquer sur les deux premiers films.

    /nerd on

    Si je reconnais que Toy Story 1 n’a pas le scénario le plus complexe du monde, je ne suis pas d’accord avec ce qu’il traite de facilités scénaristiques :

    • Le toit-ouvrant de la voiture n’arrive pas là comme par un hasard bien pratique pour la fin du film. Lorsque Buzz retrouve Woody à la station-essence, c’est par ce même toit-ouvrant qu’il entre dans la voiture. Et la voiture est visible plus tôt depuis la chambre de Andy.
    • La méchanceté de Sid n’est pas gratuite, mais est expliquée de manière peut-être trop subtile. Lorsque Buzz voit la pub qui lui fait réaliser qu’il est vraiment un jouet, il vient de s’enfuir de la chambre de Sid et se retrouve dans celle des parents. Le chien, qui nous a été présenté comme le cliché du bull-terrier violent, le repère et tente de pousser la porte avant de remarquer qu’un homme est en train de dormir devant la télé, et repars sans demander son reste. Au milieu de la journée précisons. Et on parle du chien qui va poursuivre nos protagonistes sur des kilomètres dans le final du film. On peut facilement en déduire que le paternel a quelques problèmes qui se répercutent sur son fils.
    • Woody essaie initialement d’arranger les choses parce qu’il se doit d’être le gentil, c’est vrai, mais il finit par vouloir ramener Buzz, même si ça lui coûte sa place de numéro 1, parce que le bonheur de Andy est ce qui est le plus important. Ça c’est un point sur lequel le personnage évolue.

    Ensuite dans Toy Story 2 :

    • je ne suis pas d’accord lorsqu’il dit que ça ne fait pas sens que Woody désire avoir sa place dans un musée. Il faut se rappeler qu’il arrive avec le bras déchiré chez le collectionneur, et qu’il s’est retrouvé sur la fameuse “étagère du haut juste avant le grenier”, dernière étape des jouets cassés. Son cauchemar à ce sujet est même devenu un template de meme. Donc lorsqu’il se découvre une importance qu’il ne se connaissait pas, rencontre des jouets qui souffrent rien qu’à l’idée qu’on les remette dans une boite, pareil qu’être remisé au grenier, et qu’on lui fait une promesse d’immortalité, c’est compréhensible qu’il soit enclin à se laisser séduire.
    • Lorsqu’il dit que Woody aurait dû connaître ses produits dérivés et autre pubs, puisque il s’est trouvé sur les étals d’un magasin, il faut se rappeler que Woody est un vieux jouet. D’une époque où, si on se fie à la série en noir et blanc qui lui est dédiée, les télés étaient moins répandues et la pub moins omniprésente. Même les points de vente étaient différents. Les centres commerciaux ne s’étant pas encore répandus comme la peste.

    /nerd off
    En tout cas, sa lecture du 4 m’a donné envie de le revoir. Même avant le premier visionnage, j’avais des appréhensions puisque je le trouvais superflu, et il m’avait effectivement déçu. Qui sait, j’aurais peut-être un avis différent cette fois.








  • Je lis Aurora, de Kim Stanley Robinson. On embarque avec l’équipage d’un vaisseau générationnel sur les dernières décennies de son voyage, et on suit leur vie autour de leur point d’arrivée dans le système de Tau Ceti. Forcément, tous les problèmes rencontrés n’ont pas été pris en compte. Les systèmes fragiles du vaisseau et l’ordre social sont à un cheveu de s’effondrer, et le caillou de destination n’est pas aussi accueillant qu’escompté.
    Parfois la science est un poil trop dure pour moi, mais le côté social (qui est sans doute ce que j’aime le plus dans la SF) n’est pas négligé. C’est assez équilibré.

    Et je relis Berserk de Kentaro Miura.
    Lors de ma première lecture, la surabondance de violence sexuelle, et particulièrement sa présentation limite aguicheuse, ne m’avait pas autant frappé ; on comprend facilement que Miura ait fini par, heureusement, regretter cette débauche. Entre l’éclipse et tout ce qui entoure Wyald, l’apôtre à tronche de singe, mon estomac balance lorsqu’il s’agit de départager ce qui est le plus répugnant…