Les «trains-Prison» appartiennent désormais au passé : le transport de détenus par voie ferroviaire a été discrètement supprimé, sans communication officielle. Les CFF justifient cette décision par l’état vétuste du matériel roulant et l’ampleur d’un important chantier.
J’apprend que le convoi de transfert de prisonniers n’était pas gérée par la police (cantonale ou fédérale), mais pas une police privée (Securitas) !