Quelques heures après la démission de François Bayrou, renversé lundi 8 septembre par l’Assemblée nationale, le ministre des armées a été nommé premier ministre. Il a connu sa première mobilisation, le 10 septembre, qui a réuni près de 200 000 participants dans toute la France, selon le ministère de l’intérieur.
Encore une fois le foutage de gueule.
Tant qu’ils donneront pas des gages solides (a priori le poste de PM) soit à la gauche soit au RN, ils auront pas de coalition stable.