La guerre commerciale menée par les États-Unis a révélé les risques liés à la dépendance technologique de l’Europe envers les grandes entreprises américaines.
Parmi les domaines concernés, les assistants vocaux et la reconnaissance vocale posent des questions cruciales de souveraineté numérique, de confidentialité des données et de respect des réglementations (RGPD, IA-Act…).
Nous dresserons un état des lieux des solutions actuelles (Google Assistant, Alexa, IBM Watson ou Azure Cognitive Services…) puis nous analyserons les enjeux techniques et juridiques associés à leur utilisation, notamment en ce qui concerne la protection des données et l’application du droit extraterritorial américain.
Des alternatives Libres permettent déjà de s’affranchir de cette dépendance et offrent de nombreux atouts :
- Gestion des données garantissant la confidentialité et la souveraineté totale des utilisateurs
- Respect du RGPD
- Hébergement en Europe
- Flexibilité permettant une adaptation aux métiers
- Compatibilité avec les applications web sans dépendance à des plateformes propriétaires
Nous illustrerons notre propos avec la solution libre LinTo et nous verrons comment il permet, par exemple, de transcrire et de traduire des flux audios en temps réel, de générer des résumés, et ce sur des serveurs situés en Europe, voire sur sa propre infrastructure.